Alors que je me plaignais il y a quelques jours du « buzz » autour des déboires judiciaires de Nabilla et du lamentable hashtag #FreeNabilla sur Twitter ; alors que la tribune de l’humoriste Bérengère Krief me faisait dresser les poils sur les bras et baisser la tête, je ne pensais pas écrire un jour un billet sur la bimbo déchue.
Parce que Nabilla, il y en a marre, parce que son « affaire » c’est quand même le degré zéro de l’information et parce que derrière ttout ce vent, il y a quand même un acte grave, j’avais décidé de boycotter tout ce qui tournait autour d’elle.
Je découvre le hashtag FreeNabilla et 2 tweets résument parfaitement la situation : https://t.co/QxN8cINY90 https://t.co/fWL2pct1DP
— Diraen Plopisation (@Diraen) 10 Novembre 2014
Mais c’était avant ce week-end, avant que je découvre cette vidéo qui tourne sur les réseaux sociaux depuis quelques jours.
J’avoue que ce n’est pas forcément du meilleur goût (silhouette et poitrine de Nabilla, tête de Thomas, le fait que tout ça soit quand même un sordide fait divers, etc.), mais Nabilla Prison Boobs a au moins le mérite d’avoir su montrer qu’on peut être créatif avec du « rien ».
La vidéo réuni tous les éléments clés qui ont fait la réputation de la jeune femme issue de la télé réalité, le tout dans un univers inspiré des jeux vidéo « rétro » (même si à mon avis, on est plus proche du 32 que du 8 bits dans la réalisation).
Un joli coup de pub pour le groupe Pixel Twins qui promet de désormais parodier régulièrement l’actualité sous ce format « 8 bits ».
en espérant les voir « élever le débat » et abandonner le mauvais goût…
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