Mademoiselle Doolittle par Les Arts Maniak

Un post express destiné à ceux d’entre vous qui sont à Paris ce week-end et qui se demandent encore ce qu’ils vont faire de leurs soirées.

C’était ainsi que je commençais mon billet sur L’Étrange Aventure de Mme Muir il y a un an et demi. Et bien aujourd’hui, peu de choses ont changé si ce n’est le titre de la pièce et le fait que je ne l’ai pas encore vu.

Bon soit, en fait, ça fait beaucoup de différence. Mais cette année, les Arts Maniak s’attaquent au mythique Mademoiselle Doolittle.

Mademoiselle Doolitle se tient comme une dinde (avec son chapeau à plumes, c'est raccord)

À la suite d’un pari, Henry Higgins, professeur de phonétique, entreprend de transformer Élisa, la petite marchande de fleurs, en lady.
Derrière le pantin qu’il croit avoir fabriqué de toutes pièces se révèle une vraie personne qui n’hésite pas à échapper à son créateur.
Les personnages sont portés par un dialogue où l’humour et la fantaisie sont toujours présents, dans l’une des comédies les plus populaires de la culture britannique.

Pour profiter d’une des représentation de cette comédie romantique, adaptée de « Pygmalion » (George Bernard Shaw), rendez-vous à Paris, au Théâtre Les Enfants Terribles les Mercredi 5, jeudi 6, vendredi 7 et samedi 8 juin 2013 à 20h !

On s’y croisera peut-être vendredi !

Mademoiselle Doolittle
Mise en scène et Lumières : Les Arts Maniak
avec Anne GUÈBLE – Élisa DOOLITTLE / Franck BOUHANA – Professeur Henry HIGGINS /
Xavier VIBERT – Colonel PICKERING / Pascale BAUDRY – Mme PEARCE & Mme Doolittle / Irène MATROT – Mme HIGGINS / Caroline GUINOT – Mlle EYNSFORD-HILL
Musique originale : Xavier VIBERT
la jeune vendeuse de fleur dans une position des plus inconcevable mais censée être

Théâtre Les Enfants Terribles
157 rue Pelleport – 75 020 Paris
Site du théatre
Plan d’accès

RÉSERVATIONS
Tél : 01 46 36 19 66
Entrée : tarif unique 10 €

Accès en métro : 5 min à pied de la station Télégraphe (ligne 11)

Author: Diraen

Pour maîtriser un peu mieux le concept de la Diraen (qui se prononce « dira haine »), il faut considérer que je suis maintenant une femme de 40 ans, qui aime tellement les jeux vidéo qu'elle travaille désormais à leur production et qui raconte sa vie ici, plus ou moins régulièrement, depuis plus de 15 ans.

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