Aujourd’hui, je voulais vous parler du trailer de la série TV Agents of S.H.I.E.L.D., que tout le monde a déjà vu (sauf moi) et que j’aurai mis en regard avec le trailer de The Wolverine : le combat de l’immortel.
Un truc genre:
« Ca s’annonce bien »
VS.
« Ça s’annonce mal : »
Mais bon, en même temps, je crois que je suis un peu partisane…
J’ai été complètement traumatisée par X-Men Origins: Wolverine. Le traitement réservé à Deadpool (yaaaaaaaaarg ! O_o), l’age d’Emma Frost (même si on la voit deux secondes), le lien explicite entre Sabertooth et Wolverine, bref, ce putain de film m’avait limite plongée en dépression. Je n’ai pas la magnifique capacité de régénération de Wolverine, le truc qui aurait permit à mon cerveau de préserver sa santé mentale à grand coup d’amnésie…
Du coup, apprendre qu’Hollywood allait s’attaquer à ce que la majorité des fans considèrent comme le meilleur Arc narratif du mutant aux griffes d’Adamantium, déjà c’était pas rassurant. Mais là, quand je vois ce qui semble se dessiner niveau scénaristique, je me dis de plus en plus, que je ne suis pas forcée de m’infliger ça, malgré tout mon amour pour Hugh Jackman.
Bref, plutôt que de vous gonfler avec mes considérations fanboyesques, j’ai décidé que la trailer du jour, ce sera « Les Stagiaires« . Parce que je suis restée interdite devant cette vidéo.
Billy (Vince Vaughn) et Nick (Owen Wilson), deux quarantenaires dont les carrières ont été pulvérisées par Internet, repartent à zéro en obtenant un stage chez Google qui, peut-être, débouchera sur un job.
En compétition avec des petits génies de l’informatique tout droit sortis de l’école, ils vont devoir prouver qu’ils ne sont pas des dinosaures.
Ils repartent à 2.0
A priori les deux acteurs me font rire quand ils font des trucs intelligents
A priori, un truc qui se passe dans les locaux de Google, fantasmés ou réalistes, ça peut potentiellement m’intéresser.
Mais les vannes… Je ne sais pas… J’ai peur. Et en même temps, j’ai ri ! Je suis dubitative quoi.
Même l’interview ne me convainc pas… Mon dieu, je suis tiède… Ça me perturbe.
Vos derniers mots doux