Special Series S.F. (Part III) : Orphan Black

Et oui, le retour de la suite qui aurait pu être écrite et publiée il y a maintenant 5 mois
Je profite d’un downtime pour maintenance du server TESO pour fignoler mon brouillon sur Orphan Black.

Et le temps presse, vu que la saison 2 reprend ce 19 avril.
Alors, j’me suis trouvé un peu héroïque lorsque j’ai commencé à regarder Orphan Black.
Ben oui, je pensais bêtement que c’était une série British.
Tout content de moi :

« je mate une série anglaise et je n’vomi même pas !!! Comment j’ai trop la classe ! » *

En fait, j’ai compris pourquoi mon repas restait sagement dans mon estomac et ce, malgré une hernie hiatale congénitale :
Orphan Black n’est pas une série british !

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C’est juste produit par BBC « murica ».
Et ça change tout.
Tourné au canada, avec des acteurs canadiens, même si pour les besoins de cette « atopie », certains acteurs prennent un accent anglais à la limite de la banlieue londonienne.

 Alors oui, j’ai encore fait un néologisme, mais « atopie » est le terme qui convient, puisque l’histoire se déroule dans une ville et un pays volontairement non-spécifiés.

Alors je ne vous dirais rien a propos du scénar de Orphan Black, et franchement je vous recommande de ne rien lire à ce sujet, et de ne pas mater de trailer, l’expérience n’en sera que meilleure pour vous.
Testez donc le premier épisode, au pire, vous n’aurez perdu que 45 minute de votre vie que vous pouvez aisément récupérer en faisant l’impasse sur vos relations sociales, et vos besoins physiologiques primaires.
Le plot de base n’est pas si énorme que ça, loin de là. Mais en avoir connaissance avant le premier épisode est très dommage selon moi.

Tout ce que je peux dire c’est que l’actrice principale Tatiana Maslany (sorte de Kristin-Kreuk-du-pauvre, sans le strabisme), fait un très bon travail, compte tenu de la difficulté de la tâche qui lui incombe.
Un peu moins convaincu par contre, par son frangin outrancièrement gay à un point tel que je le trouve surjoué.
Mais passé ce détail, le scénar est très sympa, très frais (peu importe le sens que les djeunz lui donnent) et tout s’enchaîne à merveille.

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Par contre, je ne conseille Orphan Black qu’à ceux qui ont un minimum de sensibilité féminine.
Si vous attendez de l’action sous overdrive, des aliens, du voyage dans le temps etc… passez votre chemin. Orphan Black a bien un pitch S.F. avec des ramifications éthiques, mais sinon, on est dans un registre plus enquête et émotionnel.

Voilà, avec Orphan Black , faut se laisser porter, et tout vient tout seul se poser subtilement comme il faut…
Et avec un twist de fin de saison qui m’a juste laissé sur le cul !!!

Un petit article de teasing, sans spoilers, et qui vous laisse le temps de matter les 10 premiers épisode avant que ne sorte la seconde saison.

Drama/Thriller/S.F. de 2013
Une série diffusée sur : BBC America
Pays d’origine : US / Canada
Format : 45min
Nombre d’épisodes : Saison 1 : 10 épisodes
Avec : Tatiana Maslany, Jordan Gavaris et Kevin Hanchard
Diffusée en France sur : SyFy
Vu en : V.O.
Voir la bande-annonce: Non !
Disponible en DVD : En VO et VF 25 € sur amazon

 

 *ça ne m’empêche pas en effet de matter doctor who (même si je vomi le concept grotesque-tech ) et d’avoir matté la totalité des 20 épisodes de DCI Banks, très, très bonne série policière britannique adaptée des nouvelles à succès de Peter Robinson. (Attention aux amateurs de VO, là, on a du lourd, du bon vieil accent du Yorkshire !)

Author: Carter

Carter, cousin spirituel du Dr John Carter, neveu du Major Samantha Carter, et beau frère du Sheriff Jack Carter. Commandité par Diraen pour causer de la seule chose qui le maintienne encore en vie, à savoir la drogue qu'ils mettent dans les séries TV. (Malgré ce que les CEO des Networks ont dit devant le congrès US, la série TV est addictive ! )

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